La Coordination des Associations de Presse (Cap) dénonce une « pression multiformes de l’Etat ». Elle interpelle l’opinion publique nationale et internationale « sur les périls qui guettent le journalisme au Sénégal, si rien n’est fait ». Dans un communiqué, elle demande l’ouverture de discussions et concertations afin de mettre un terme à la « grave crise » dudit secteur. « Si l’objectif de l’Etat n’est pas, comme certains le subodorent, la mise à mort programmée de la presse privée, seules des mesures hardies de correction et d’adaptation de l’écosystème des médias, prises à la suite de concertations franches, peuvent servir de solutions », soutiennent les associations de presse.
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